BONJOUR,
sous le signe d'AIR du VERSEAU - Un thème "balançoire"
1922 car c'est la date butoir que l'on trouve sur sa fiche militaire. La date de son supposé décès.
Contrairement à ce qu'indique sa fiche Registre Matricule, il n'est pas mort en janvier 1922.
Mais en Janvier 1926, OUI. sous les coups (de hache et de bâton) de sa femme et de son fils de 14 ans.
Le fils et l'épouse seront très vite soupçonnés par le médecin et les autorités chargées de l'enquête. Leur version de l'accident dont il aurait été victime ne convainc pas. Le corps du père de famille porte des blessures profondes qui ne sont pas dues à une simple chute sur la chaussée comme les deux protagonistes tentent de le faire croire.
Un témoignage, celui de Marcel CHARTAUD qui déclare : "la mort de BARREAU n'est pas c'qu'on croit", va également les pousser à enquêter.
Le procès aura lieu six mois plus tard. On apprendra que les deux époux sont agressifs, qu'ils ne s'entendent plus, que l'épouse souhaiterait même "qu'il crève". Charles BARREAU, 42 ans, considéré comme travailleur, est "porté sur la bouteille". Il frappe généralement ses enfants et son épouse. Et ce 22 janvier, le père de famille s'en prend à sa fille aînée de 15 ans à qui il donne des coups de sabots. Le frère et la mère vont prendre sa défense, ce qui va mettre le père de famille en rage. Il menace et va chercher un nerf de boeuf pour mettre ses menaces à exécution. La scène dégénère. Le fils porte un coup de bèche sur la tête de son père. La mère de famille le frappe sur tout le corps avec un bâton. Charles BARREAU reste affalé sur le sol. Ils maquilleront la scène, laissant supposer que l'homme est tombé sur un chemin, le porteront à l'intérieur sur un lit, le laveront et nettoieront la cour.
Contre toute attente, l'épouse écopera de 18 mois de prison et Alexandre, le fils de 14 ans, acquitté, sera envoyé en colonie pénitentiaire jusqu'à ses 16 ans.
Alexandre, le fils, né le 25 janvier 1912 (1 H) Sainte Flaive des Loups (85)
FEU (MC + 3 soit 4), TERRE (4), EAU (ASC+1 soit 2), AIR (2)
MARS en Maison 7 (comme sa mère) position qui doit être contrôlée puisque MARS pousse à porter son partenaire sur le devant de la scène -parfois à son détriment, à ses dépens- Il y a là un besoin d'une relation vivante, active et satisfaisante.
MARS TAUREAU quand on a éveillé sa colère, le natif porteur d'une telle position, a du mal à la contrôler, la dissimuler. Mais pour déclencher sa fureur, il faut beaucoup de provocation avant qu'il ne fulmine car le TAUREAU est patient.
Bonne Lecture,
isalucy23@orange.fr
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